3 Lieder de Hummel et Goethe (Weimar 1825) : n° 2
En cliquant ici, vous entendrez le début de ce lied, interprété par Dietrich Fischer-Dieskau, avec Jörg Demus au pianoforte
Ce lied est le 2e des 3 composés par Hummel sur des textes de Goethe pour la fête de la Loge de Weimar Anna Amalia zu den drei Rosen organisée en 1825 à l'occasion du 50e anniversaire du règne du Grand-Duc Karl August de Saxe-Weimar (1758-1828).
Nous en donnons une partition moderne à une voix et une autre plus ancienne, empruntée au chansonnier 1851 de cette Loge (p. 193).
On trouve encore une autre édition de cette partition aux pp. 161-2 de l'ouvrage d'Hugo Wernekke, Goethe und die Königliche Kunst.
Zwischengesang Zur Logenfeier Laßt fahren hin das Allzuflüchtige; Ihr sucht bei ihm vergebens Rat! In dem Vergangnen lebt das Tüchtige, Verewigt sich in schöner Tat. Und so gewinnt sich das Lebendige Durch Folg' aus Folge neue Kraft; Denn die Gesinnung, die beständige, Sie macht den Menschen dauerhaft. So löst sich jene große Frage Nach unserm zweiten Vaterland; Denn das Beständige der ird'schen Tage Verbürgt uns ewigen Bestand. |
Intermède vocal Pour la Tenue en Loge du trois septembre 1825 Laissez s'envoler ce qui est par trop fugitif; Et ainsi ce qui vit y gagne, Ainsi se résout la grande question |
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La traduction française est d'Alain Pie.