LES FRANCS-MAÇONS
ODE
Cette Ode intitulée Les Francs-maçons figure aux pp. 59-61 de la Lyre maçonnique de 1812.
Il s'agit en fait d'un texte qu'on trouvait, sous le titre Les Francs-Maçons - Ode, dans de nombreux recueils du XVIIIe appartenant à la famille que nous avons appelée de Jérusalem, par exemple ici dans le recueil de Lausanne, ou ici, avec une charmante gravure. Mais il s'agissait alors d'un poème et non d'une chanson. Il date certainement de la première moitié du XVIIIe et son inspiration est d'ailleurs assez voisine de celle de la cantate (1743) Les Francs-Maçons de Clérambault et - par sa référence à l'Age d'Or - de l'Apologie des francs-maçons de Procope .
Mais il a fait l'objet d'adaptations :
3 strophes ont été omises (voir plus bas)
pour supprimer une faute de style, le 4e vers du 3e couplet a été corrigé de C’est de vous dont je veux parler en C’est de vous que je veux parler.
un air a été choisi, celui de Hymne à l'Amitié de Duchesne ; c'est le même que celui de cette page.
Le 3e couplet isolé sera repris plus tard dans L'Univers maçonnique.
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LES FRANCS-MAÇONS, ODE.
Air de l'Hymne à l'Amitié. (De M. Ch. Duchesne.)
Age d’or, siècle qu’on nous vante,
Mais pourquoi traiter de prestiges
Francs-Maçons, si dignes d’estime,
Ecoutons parler le vulgaire :
Par quel motif, sur quel indice
Non, une amitié charitable |
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