A la Santé de nos maçonnes
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A la Santé de nos
maçonnes Maudit
ce luy qui ne boira
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Fleury se dit l'auteur de ce texte.
On retrouve cette chanson, avec le même texte, dans certains autres chansonniers du XVIIIe - mais pas dans La Lire maçonne ni le recueil de Ste-Geneviève -, particulièrement à l'édition 1752 du recueil Joly (p. 62) et à des éditions des divers Recueils de Jérusalem et de ceux qui lui sont associés, comme le Recueil de Sophonople (p. 132, avec la mention d'air Maudit celui qui ne boira ou Il y a tant de gens de bien) ou (image ci-dessous, où l'on remarque que maudit est remplacé par honni) à la p. 192 du recueil de Lausanne (où elle fait partie du sous-ensemble Divers petits couplets sur la maçonnerie).