Es blinken drei freundliche Sterne
Cliquez ici pour entendre ce lied, séquencé par Christophe D.
Cette partition, très expressive, de Neithardt figure (n° 17 p. 28) au chansonnier (1851) de la Loge Amalia zu den drei Rosen.
Le texte original date de 1809 et est dû à Th. Körner. On le trouve dans énormément de chansonniers tant profanes que maçonniques, mais il s'agit ici d'une version un peu arrangée, sans doute pour sonner plus maçonnique (par exemple, au 2e vers du 3e couplet, Wunder est remplacé par Bunde).
On trouve ici une partition de Karl Maria von Weber (à ne pas confondre avec Franz Anton ni avec Bernhard Anselm, tous deux maçons) pour le texte d'origine.
Plusieurs sites signalent que le texte peut également se chanter sur l'air de Himmel Es kann ja nicht immer so bleiben.
1. Es blinken drei freundliche Sterne in's Dunkel des Lebens hinein: die Sterne, die funkeln so traulich, sie heissen Lied, Liebe und Wein! 2. Es lebt in der Stimme des Liedes 3. Der Wein ist der Stimme des Liedes 4. Doch schimmert mit freudigem Winken 5. Drum blickt denn, ihr herzigen Sterne, |
1. Trois étoiles amicales clignotent |