Ouvrage du Maçon
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ouvrage du maçon.
Dans
nos loges nous bâtissons
Nos ouvrages sont
toujours bons, Beautés pour qui nous soupirons, Vlà c' que c'est, etc. Vos attraits, que nous révérons, De l'Etre suprême Sont l'image même : C'est lui qu'en vous nous adorons, Vlà c' que c'est, etc.
Aux prophanes nous
l'annonçons, |
Ces pages sont les pp. 83 à 85 (83-4 de l'édition 1787, où la chanson est comprimée pour faire place à une nouvelle à la p. 85) de La Lire Maçonne.
La même chanson, sous le titre Dans nos loges nous bâtissons, se trouve au chansonnier de Naudot.
On la trouve aussi aux pages 76-8 du recueil de la Veuve Jolly, sous le titre Chanson.
ainsi que, sous le même titre, au Recueil de chansons franc-maçonnes à l’usage de la loge de l’Union paru à Francfort en 1764 (pp. 31-3)
On la retrouve, sous le titre Conclusion (c'est la dernière de la première partie), et avec la mention pour air de V'la c'que c'est qu' d'aller au bois (on voit ici que les partitions correspondent à peu près), aux pp. 95-6 du chansonnier de Sophonople, mais sans le couplet Des autels pompeux.
Cette chanson figure encore à la p. 60 du Recueil 1782, ainsi que dans d'autres recueils apparentés.
Le Recueil de chansons des francs-maçons à l'usage de la Loge de Ste Geneviève reprend cette chanson à ses pages 50-1.
En 1761, elle se trouve (pp. 297-8) dans un ouvrage profane, Les Folies ou Poésies diverses de M. Fl. ****, avec la mention Chanson maçonne sur l'air V'la c'que c'est qu' d'aller au bois gravée et imprimée en différents recueils.
En 1748, elle avait également fait l'objet d'une parodie anti-maçonnique.
Sous le titre Les francs-maçons, elle figure aussi (pp. 245-6) à la Lyre maçonnique de 1810, dont elle constitue d'ailleurs la dernière chanson.
On la trouve également, avec pour seule différence l'incipit Dans nos loges bâtissons au lieu de Dans nos loges nous bâtissons, à la partie francophone du chansonnier des 3 Globes (pp. 303-4 de l'édition de 1810).
Et, en 1806, on la retrouve (pp. 39-40), à la Muse maçonne.
On la trouve également (sans le 4e couplet) aux pp. 69-70 d'un recueil profane, le Chansonnier de tous les Etats publié vers 1821.
L'air récupéré par la Lire est bien celui de V'la c'que c'est qu' d'aller au bois, qui est d'ailleurs celui mentionné pour cette parodie.