Nouvelle Chanson d'Union
Cliquez ici (midi) ou ici (mp3) pour entendre l'air de la partition ci-dessous.
Ce texte peut aussi se chanter sur l'air précédent, celui de la Chanson d'Union.
La partition et le texte (dans son orthographe originale) ci-dessous figurent respectivement aux pp. 6 et 7-8 de La Lire Maçonne.
Le même texte est celui de la Suite de la Chanson des Aprentifs au chansonnier de Naudot et au Recueil de Francfort.
On le trouve aussi (avec quelques variations mineures, comme Que nous voyons allumer tant de guerres au lieu de Par qui souvent s'allument tant de guerres) aux pages 40-2 du recueil de Sophonople
Cette chanson figure également à la Table du RECUEIL DE CHANSONS ET POÉSIES MAÇONNES de la Loge de Cognac (mais la page manque à l'exemplaire utilisé sur ce site), ainsi qu'à la plupart des recueils du XVIIIe siècle. Elle ne figure par contre pas au Recueil de Ste Geneviève.
Colizzi a repris ce texte dans ses Canons, sous le n° 5.
On le trouve aussi dans la partie francophone du Free-mason's vocal assistant paru à Charleston en 1807 (p. 158).
On le trouve également à la partie francophone du chansonnier des 3 Globes (pp. 30
5-6 de l'édition de 1810).Au Recueil précieux de la Maçonnerie Adonhiramite
, un Cantique de clôture avec le même incipit constitue un mixte des deux chansons.Au Nouveau Recueil de discours et chansons maçonnes, à l'usage de toutes les Loges régulières, c'est également un mixte qu'on trouve (p. 71) sous le même incipit.
On retrouvera le texte initial à deux chansonniers hollandais de 1806, tous deux inspirés de la Lire : celui de Holtrop (p. 445, sous le titre Lien fraternel) et la Muse maçonne (p. 3, sous le titre Nouvelle chanson d'Union).
Le texte se retrouve, sous le titre La Chaîne, cantique maçonnique, au n° 11 de ce carnet manuscrit.
On retrouve la chanson en 1835 (colonnes 150-1) dans le n° 1 de L'Univers maçonnique, sous le titre Lien fraternel.
I. Frères et Compagnons II. C'est
ici que de fleurs III.
Par des moïens secrets, IV.
Profanes, curieux |
V. Si par hazard l'ennui VI. Buvons tous à l'honneur VII. Joignons-nous main en main, On répete ces deux vers trois fois. |
(1) chez Naudot
et aux Trois Globes : Donne titre de Frère
(2) chez Naudot, aux Trois Globes et
au recueil de Francfort : Nous
même serions ignorans
Il est à noter que le 4e couplet est inspiré du 2e du Chant des Apprentis, mais dans un style meilleur et plus direct.
Le recueil de la Veuve Jolly donne (pp. 22-5) le même texte, mais avec une partition différente.
On peut voir que la partition ci-dessus est celle donnée par La Tierce pour le Chant des Apprentis.